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Accès libre Bibliographie Universités

Bibliographie sur les thèses électronique

Charles W. Bailey, Jr., rédacteur en chef de Digital Scholarship, annonce la publication de la version 4 de sa bibliographie sur les thèses et dissertations électroniques : The Electronic Theses and Dissertations Bibliography, Version 4.

Selon notre collègue des USA,

This bibliography presents selected English-language articles, conference papers, and other printed and electronic sources that are useful in understanding electronic theses and dissertations (ETDs). Where possible, links are provided to sources that are freely available on the Internet, including e-prints in disciplinary archives and institutional repositories.

Accès libre Professeur Rapport et étude Universités

L'argent du libre

Ithaka, un groupe voué à l’étude et le support de l’édition académique libre, annonce le lancement d’un rapport d’étude sur 12 modèles exploités par des groupes de chercheurs pour assurer la pérennité financière de leurs projets d’édition libre. Intitulé Sustaining Digital Resources: An On-the-Ground View of Projects Today, offre une perspective intéressante pour les administrateurs de tels projets :

Dr Malcolm Read, JISC’s [groupe d’académiques en Grande-Bretagne] Executive Secretary said, « These case studies demonstrate the innovative and dynamic approaches for universities and others to sustain digital resources online in the most cost effective way. »

The final report serves as a guide to the cases, and argues that sustainability entails much more than simply covering the costs of putting a resource online. Equally important is ensuring the ongoing development of
the resource to suit the continually evolving needs of its users. The paper presents a framework for thinking about sustainability, outlining the five stages that successful projects must undertake in developing sustainability models: from acquiring a deep understanding of users and their needs, to thinking broadly about the range of revenue models that might be possible.

The studies also demonstrate that, while many projects are attempting to generate some revenue through subscription, pay-per-view, and a range of licensing arrangements, their overall financial picture still depends
heavily on receiving direct as well as in-kind support from the institutions that host them.

Livre et édition Montréal Universités

La micro-édition à l'Université McGill

Selon Isabelle Paré du Devoir (28-29 mars 2009, page F2, page fermée), les bibliothèques de l’Université McGill se doteront d’une machine « Expresso » qui imprime des livres entiers sur demande cet été. Ce réseau serait le 3e au Canada de se doter d’une telle machine.

à lire à ce sujet, le billet sur le site Sismographe, le nouveau blogue des journalistes du quotidien montréalais Le Devoir, à propos des mutations aux industries de la culture.

ABRC CARL Bibliothécaire Universités

Comment les bibliothèques universitaires achètent-elles des livres?

Un lecteur nous a fait parvenir une question concernant le processus d’acquisition des livres en bibliothèque universitaire au Canada. Voici notre réponse. Avant tout, nous divisons sa question en deux pôles: le développement des collections puis l’allocation des budgets.

En général, le service de bibliothèque de chaque université propose des politiques de développement de collections. Il s’agit d’une indication du niveau de détail à atteindre pour tous les sujets couverts par l’institution. Donc, les bibliothécaires sont appelés à employer des guides, comme Guide for Written Collection Policy Statements de la ALA, et indiquer les « niveau de détail » à atteindre pour chaque « sujet ». Généralement, cela implique prendre une séries d’indices de classification de la Library of Congress (une artie des codes sur le côté des livres, qui représente leur sujet) et de ire si la bibliothèque détient une collection avancée, moyenne, de base etc. Ensuite, nous utilisons ce guide pour acheter les livres, un à un.

Concernant la ventilation du budget selon les disciplines, chaque institution a sa propre méthodologie, mais en général, cela implique une formule mathématique relativement fixe, où le nombre d’étudiants des divers cycles, le nombres de profs, le nombre de crédits, le nombre de prêts des livres déjà acquis et d’autres facteurs sont indiqués afin d’obtenir une allocation budgétaire par département universitaire. Ensuite, un bibliothécaire est responsable d’un ou plusieurs départements universitaires, et dépensent ces fonds selon la politique de développement de collection.

Il y a une tendance lourde qui modifie ces mécanismes, celui des collections numériques. De plus en plus, les éditeurs ou les revendeurs de contenu proposent des offres groupées (bundle) – plusieurs titres pour un prix à rabais. il est parfois (souvent) difficile d’imputer ces offres groupées à un département universitaire précis, car elles sont
multi-disciplinaires. Cela cause des changements dans la structure de la politique de développement de collection mais aussi de l’allocation
budgétaire sur la base de sujets associés aux départements universitaires.

Pour plus de détails, il serait nécessaire de contacter chaque institution pour obtenir des détails sur les méthodes locales. Par ailleurs, monsieur Onil Dupuis de la CRÉPUQ (association des universités du Québec) qui travaille étroitement avec le Sous-comité des bibliothèques. Par ailleurs, l’Association des bibliothèques de recherche du Canada, dont sont membre les grandes universités Canadiennes et quelques autres peut fournir des détails.

États-Unis Internet Revue et journaux Universités

Technologies de l’éducation (rapport 2009)

Le New Media Consortium (NMC) nous livre la version 2009 du rapport annuel Horizon Report. À chaque année, ce consortium d’établissements d’enseignement recense les différentes technologies à observer.

Cette année, il semble que les téléphones cellulaires et l’informatique dissipée (coud computing) sont les technologies qui risquent d’avoir un impact dans la prochaine année. Pour les 2 à 3 prochaines années, les capacités de géolocalisation, particulièrement des téléphones portables de nouvelle génération (3G), et le web personnalisé (Web 2.0) auront un impact. Finalement, les applications sémantiques et les « objets intelligents » (votre frigo qui vous informe d’acheter du lait) sont à observer sur un horizon de cinq ans ou plus.

Les autres Horizon Reports sont disponibles pour les années passées.